Pour qu'une relation interculturelle positive, efficace et apaisée existe, il faut trois choses, comme dans une bonne recette de cuisine :
- l'accord sur le cadre qui va servir de marmite dans laquelle la recette de la relation va naître (pluri, multi ou interculturel?) ;
- la réciprocité de la reconnaissance entre les acteurs (pour lier les ingrédients);
- l'émergence de valeurs centrales de cohésion, équilibrées et partagées, pour pouvoir se projet ensemble ( se restaurer avec le même appétit ).
Le "wokisme" est tout le contraire de cela.
Il dynamite le cadre, refuse la réciprocité, et veut l'émergence de la "différence des droits" au nom de la différence des valeurs.
Il est, en ce sens, un séparatisme dramatique.
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